Poème – Printemps 2004
Les noeuds de sa main d’infante sur l’avenir des crues,
l’érection des pistils par sa voix, par sa dérive,
on entrevoit sa tête végétale et on entend son rire de folle.
L’abandon en elle, couvre-feu.
à Lol. v. Stein
Poème – Printemps 2004
Les noeuds de sa main d’infante sur l’avenir des crues,
l’érection des pistils par sa voix, par sa dérive,
on entrevoit sa tête végétale et on entend son rire de folle.
L’abandon en elle, couvre-feu.
à Lol. v. Stein