Poème – Printemps 2004
Congédie l’attente des pas promis vers le col,
sois seule,
totalement seule,
délie tous tes bras
et nage dans la densité brute des sous-bois:
l’ombre sur l’herbe recule lentement,
et quitte le jardin.
Poème – Printemps 2004
Congédie l’attente des pas promis vers le col,
sois seule,
totalement seule,
délie tous tes bras
et nage dans la densité brute des sous-bois:
l’ombre sur l’herbe recule lentement,
et quitte le jardin.