Poème – Printemps 2004
Il y a une si grande main sur la fenêtre ouverte,
ombre de l’enclos des premiers pas,
_ ajournement du corps qui se lève,
elle soulève sa jupe entière devant le jeu opaque du vent.
Poème – Printemps 2004
Il y a une si grande main sur la fenêtre ouverte,
ombre de l’enclos des premiers pas,
_ ajournement du corps qui se lève,
elle soulève sa jupe entière devant le jeu opaque du vent.